15 mai 2010

UCEM~LEÇON 136 - La maladie est une défense contre la vérité.

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LEÇON 136

La maladie est une défense contre la vérité.

1. Nul ne peut guérir à moins qu’il ne comprenne quel but la maladie semble servir. 2 Car alors il comprend aussi que son but n’a pas de signification. 3 Étant sans cause et sans intention signifiante d’aucune sorte, elle ne peut pas être du tout. 4 Quand cela est vu, la guérison est automatique. 5 Elle dissipe cette illusion in-signifiante par la même approche qui les porte toutes à la vérité et les laisse là simplement pour qu’elles disparaissent.

2. La maladie n’est pas un accident. 2 Comme toutes les défenses, c’est un mécanisme insane pour se tromper soi-même. 3 Et comme toutes les autres, son but est de cacher la réalité, de l’attaquer, de la changer, de la rendre inepte, de la distordre, de la déformer ou de la réduire en un petit tas de parties désassemblées. 4 Le but de toutes les défenses est d’empêcher la vérité d’être entière. 5 Les parties sont vues comme si chacune d’elles était entière en elle-même.

3. Les défenses ne sont pas sans intention, pas plus qu’elles ne sont faites inconsciemment. 2 Elles sont des baguettes magiques secrètes que tu brandis quand la vérité paraît menacer ce que tu voudrais croire. 3 Elles ne semblent être inconscientes qu’à cause de la rapidité avec laquelle tu choisis de les utiliser. 4 Dans cette seconde, même moins, où le choix se fait, tu reconnais exactement ce que tu voudrais tenter de faire, puis tu entreprends de penser que cela est fait.

4. Qui d’autre que toi évalue une menace, décide que l’évasion est nécessaire, puis monte une série de défenses pour réduire la menace qui a été jugée réelle ? 2 Tout cela ne peut pas être fait inconsciemment. 3 Mais après coup, ton plan requiert que tu oublies que tu l’as fait, de sorte qu’il semble être extérieur à ta propre intention; un évènement au-delà de ton état d’esprit, un résultat qui a un réel effet sur toi, au lieu d’un résultat effectué par toi.

5. C’est cet oubli rapide du rôle que tu joues pour faire ta “réalité” qui fait que les défenses semblent être au-delà de ton propre contrôle. 2 Mais ce que tu as oublié, tu peux te le rappeler, pour peu que tu aies le désir de reconsidérer la décision qui est doublement protégée par l’oubli. 3 Que tu ne te souviennes pas est simplement le signe que cette décision reste encore en vigueur, en ce qui concerne tes désirs. 4 Ne prends pas cela pour un fait. 5 Les défenses doivent rendre les faits méconnaissables. 6 C’est ce qu’elles visent à faire, et c’est ce qu’elles font.

6. Chaque défense prend des fragments du tout, les assemble sans tenir compte de toutes leurs véritables relations, et construit ainsi l’illusion d’un tout qui n’est pas là. 2 C’est ce processus qui impose une menace et non le résultat quel qu’il soit. 3 Quand les parties sont arrachées du tout et vues comme étant séparées et entières en elles-mêmes, elles deviennent des symboles représentant l’attaque contre le tout; à l’effet réussi et qui plus jamais ne seront vues comme entières. 4 Or tu as oublié qu’elles ne représentent que ta propre décision sur ce qui devrait être réel, pour prendre la place de ce qui est réel.

7. La maladie est une décision. 2 Ce n’est pas une chose qui t’arrive, sans l’avoir cherchée, qui te rend faible et t’apporte la souffrance. 3 C’est un choix que tu fais, un plan que tu formes, quand pour un instant la vérité surgit dans ton propre esprit illusionné et que tout ton monde paraît tituber et s’apprêter à s’effondrer. 4 Maintenant tu es malade, pour que la vérité s’en aille et ne menace plus tes établissements.

8. Comment penses-tu que la maladie peut réussir à te protéger de la vérité ? 2 Parce qu’elle prouve que le corps n’est pas séparé de toi et que tu dois donc être séparé de la vérité. 3 Tu souffres parce que le corps souffre, et dans cette douleur tu deviens un avec lui. 4 Ainsi est préservée ta “véritable” identité, et la pensée étrange et obsédante que tu puisses être quelque chose au-delà de ce petit tas de poussière est réduite au silence et apaisée. 5 Car, vois-tu, cette poussière peut te faire souffrir, te tordre les membres et arrêter ton cœur, te commandant de mourir et de cesser d’être.

9. Ainsi le corps est-il plus fort que la vérité, qui demande que tu vives mais ne peut surmonter ton choix de mourir. 2 Ainsi le corps est-il plus puissant que la vie éternelle, le Ciel plus fragile que l’enfer, et au dessein de Dieu pour le salut de Son Fils s’oppose une décision plus forte que Sa Volonté. 3 Son Fils est poussière, le Père incomplet, et le chaos siège triomphant sur Son trône.

10. Tel est le plan que tu fais pour ta propre défense. 2 Et tu crois que le Ciel recule devant des attaques aussi folles que celles-ci, alors que Dieu est rendu aveugle par tes illusions, que la vérité est tournée en mensonge et que tout l’univers est rendu esclave des lois que tes défenses voudraient lui imposer. 3 Or qui croit aux illusions, sinon celui qui les a inventées ? 4 Qui d’autre peut les voir et y réagir comme si elles étaient la vérité ?

11. Dieu ne connaît rien de tes plans pour changer Sa Volonté. 2 L’univers ne tient pas compte des lois par lesquelles tu pensais le gouverner. 3 Et le Ciel ne s’est pas incliné devant l’enfer, ni la vie devant la mort. 4 Tu peux seulement choisir de penser que tu meurs ou souffres d’une maladie ou distords la vérité d’une quelconque façon. 5 Ce qui est créé est à part de tout cela. 6 Les défenses sont des plans pour vaincre ce qui ne peut être attaqué. 7 Ce qui est inaltérable ne peut changer. 8 Et ce qui est entièrement sans péché ne peut pécher.

12. Telle est la simple vérité. 2 Elle ne fait appel ni à la puissance ni au triomphe. 3 Elle ne commande pas l’obéissance ni ne cherche à prouver combien sont pitoyables et futiles tes tentatives pour planifier les défenses qui l’altèreraient. 4 La vérité veut simplement te donner le bonheur, car tel est son but. 5 Peut-être soupire-t-elle un peu lorsque tu jettes ses dons, et pourtant elle connaît, avec une parfaite certitude, que ce que Dieu veut pour toi doit être reçu.

13. C’est ce fait qui démontre que le temps est une illusion. 2 Car le temps te laisse penser que ce que Dieu t’a donné n’est pas la vérité maintenant, comme ce doit l’être. 3 Les Pensées de Dieu sont tout à fait à part du temps. 4 Car le temps n’est qu’une autre défense in-signifiante que tu as faite contre la vérité. 5 Or ce qu’Il veut est là, et tu restes tel qu’Il t’a créé.

14. La vérité a un pouvoir qui est bien au-delà des défenses, car nulle illusion ne peut demeurer là où il a été permis à la vérité d’entrer. 2 Elle vient à chaque esprit qui voudrait déposer les armes et cesser de jouer avec des folies. 3 Elle est trouvée à n’importe quel moment; aujourd’hui, si tu choisis de t’exercer à accueillir la vérité.

15. Voilà notre but aujourd’hui. 2 Nous donnerons deux fois un quart d’heure pour demander à la vérité de venir à nous et de nous rendre libres. 3 Et la vérité viendra, car elle n’a jamais été à part de nous. 4 Elle attend simplement cette invitation que nous lui faisons aujourd’hui. 5 Nous l’introduisons par une prière de guérison, pour nous aider à nous élever au-dessus de la défensive, et nous laissons la vérité être telle qu’elle a toujours été :

6 La maladie est une défense contre la vérité.

7 J’accepterai la vérité de ce que je suis et je laisserai mon esprit être entièrement guéri aujourd’hui.

16. La guérison passe comme un éclair dans ton esprit grand ouvert, lorsque la paix et la vérité surgissent pour prendre la place de la guerre et des vaines imaginations. 2 Il n’y aura pas de recoins sombres que la maladie puisse dissimuler et garder défendus contre la lumière de la vérité. 3 Il ne restera plus dans ton esprit ni les vagues figures de tes rêves ni leurs quêtes obscures et in-signifiantes poursuivant leurs doubles buts de manière insane. 4 Il sera guéri de tous les souhaits maladifs auxquels il a tenté d’autoriser le corps à obéir.

17. Maintenant le corps est guéri, parce que la source de la maladie a été rendue accessible au soulagement. 2 Et tu reconnaîtras que tu t’es bien exercé à ceci : le corps ne devrait rien ressentir du tout. 3 Si tu as réussi, il n’y aura pas de sensation ni de malaise ni de bien-être, ni de douleur ni de plaisir. 4 Il n’y a pas du tout de réponse dans l’esprit à ce que fait le corps. 5 Son utilité demeure, et rien de plus.

18. Tu ne te rends peut-être pas compte que cela enlève les limites que tu as imposées au corps par les buts que tu lui as donnés. 2 Lorsque ceux-ci sont mis de côté, la force du corps sera toujours suffisante pour remplir tous les buts véritablement utiles. 3 La santé du corps est pleinement garantie, parce qu’il n’est pas limité par le temps, par le climat ou la fatigue, par le manger et le boire, ni par aucune des lois auxquelles tu l’as soumis auparavant. 4 Tu n’as pas besoin de faire quoi que ce soit maintenant pour le rendre sain, car la maladie est devenue impossible.

19. Or cette protection a besoin d’être préservée par une attention vigilante. 2 Si tu laisses ton esprit abriter des pensées d’attaque, céder au jugement ou faire des plans contre des incertitudes à venir, tu t’es encore mal placé et t’es fait une identité corporelle qui attaquera le corps, car l’esprit est malade.

20. Le cas échéant, apporte-lui un remède immédiat en ne permettant pas que ta défensive te blesse plus longtemps. 2 Ne te méprends pas à propos de ce qui doit être guéri, mais dis-toi :

3 J’ai oublié ce que je suis réellement, car j’ai pris mon corps pour moi-même.

4 La maladie est une défense contre la vérité.

5 Mais je ne suis pas un corps.

6 Et mon esprit ne peut pas attaquer.

7 Ainsi je ne peux pas être malade.

L’Inspiration

Ta fonction dans l’Expiation (Texte 14.IV)

1. Quand tu acceptes la non-culpabilité de ton frère, tu vois l’Expiation en lui. 2 Car en la proclamant en lui, tu la fais tienne, et tu verras ce que tu cherchais. 3 Tu ne verras pas le symbole de la non-culpabilité de ton frère brillant en lui tant que tu croiras encore qu’elle n’est pas là. 4 Sa non-culpabilité est ton Expiation. 5 Accorde-la-lui et tu verras la vérité de ce que tu as reconnu. 6 Or la vérité est offerte premièrement pour être reçue, comme Dieu la donna premièrement à Son Fils. 7 Le premier dans le temps ne signifie rien, mais le Premier dans l’éternité est Dieu le Père, Qui est à la fois Premier et Un. 8 Au-delà du Premier il n’y en a pas d’autre, car il n’y a pas d’ordre, pas de second ni de troisième, et rien que le Premier.

2. Toi qui appartiens à la Cause Première, créé par Lui à l’image de Lui-même et faisant partie de Lui, tu es plus que simplement non coupable. 2 L’état de non-culpabilité n’est que la condition dans laquelle ce qui n’est pas là a été enlevé de l’esprit désordonné qui pensait que ce l’était. 3 C’est cet état, et seulement cela, que tu dois atteindre, avec Dieu à tes côtés. 4 Car jusqu’à ce que tu le fasses, tu continueras de penser que tu es séparé de Lui. 5 Tu peux peut-être sentir Sa Présence près de toi, mais tu ne peux pas connaître que tu ne fais qu’un avec Lui. 6 Cela ne peut pas s’enseigner. 7 L’apprentissage concerne uniquement la condition dans laquelle cela vient tout seul.

3. Quand tu auras permis que soit défait pour toi tout ce qui dans ton esprit très saint obscurcissait la vérité, et que par conséquent tu te tiendras en grâce devant ton Père, Il Se donnera Lui-même à toi comme Il l’a toujours fait. 2 Se donner Lui-même, c’est tout ce qu’il connaît, or donc c’est toute la connaissance. 3 Car ce qu’il ne connaît pas ne peut pas être et par conséquent ne peut pas être donné. 4 Ne demande pas à être pardonné, car cela a déjà été accompli. 5 Demande, plutôt, à apprendre comment pardonner, et à ramener dans ton esprit qui ne pardonne pas ce qui a toujours été. 6 L’Expiation devient réelle et visible pour ceux qui l’utilisent. 7 Sur terre c’est ta seule fonction, et tu dois apprendre que c’est tout ce que tu veux apprendre. 8 Tu te sentiras coupable jusqu’à ce que tu apprennes cela. 9 Car à la fin, quelque forme qu’elle prenne, ta culpabilité surgit de ce que tu as manqué de remplir ta fonction dans l’Esprit de Dieu avec tous les tiens. 10 Peux-tu échapper à cette culpabilité en manquant de remplir ta fonction ici?

4. Tu n’as pas besoin de comprendre la création pour faire ce qui doit être fait avant que la connaissance ait une signification pour toi. 2 Dieu ne brise pas de barrières; pas plus qu’il ne les a faites. 3 Quand tu les laisses aller, elles disparaissent. 4 Dieu n’échouera pas, comme Il n’a jamais échoué en quoi que ce soit. 5 Décide que Dieu a raison et que tu es dans l’erreur à ton sujet. 6 Il t’a créé à partir de Lui-même, mais toujours au-dedans de Lui. 7 Il connaît ce que tu es. 8 Souviens-toi qu’après Lui il n’y a pas de second. 9 Il n’y a personne, donc, qui puisse être sans Sa Sainteté, ni personne qui soit indigne de Son parfait Amour. 10 Ne manque pas à ta fonction, qui est d’aimer dans un lieu sans amour fait de ténèbres et de tromperie, car c’est ainsi que ténèbres et tromperie sont défaites. 11 Ne te manque pas à toi-même, mais plutôt offre à Dieu et à toi-même Son Fils irréprochable. 12 Pour ce petit don de reconnaissance pour Son Amour, Dieu Lui-même échangera ton don pour le Sien.

5. Avant de prendre pour toi-même quelque décision que ce soit, souviens-toi que tu t’es décidé contre ta fonction au Ciel, puis considère soigneusement si tu veux prendre des décisions ici. 2 Ta fonction ici est seulement de décider de ne pas décider ce que tu veux, en re-connaissance du fait que tu ne le sais pas. 3 Comment, donc, peux-tu décider ce que tu devrais faire? 4 Laisse toute décision à Celui Qui parle pour Dieu, et pour ta fonction telle qu’il la connaît. 5 Ainsi Il t’enseignera à lever le terrible fardeau que tu t’es imposé en n’aimant pas le Fils de Dieu et en tentant de lui enseigner la culpabilité au lieu de l’amour. 6 Renonce à cette insane et frénétique tentative qui te dérobe la joie de vivre avec ton Dieu et Père, et de t’éveiller avec joie à Son Amour et à Sa Sainteté, qui se joignent en tant que vérité en toi, te rendant un avec Lui.

6. Quand tu as appris à décider avec Dieu, toutes les décisions deviennent aussi faciles et justes que de respirer. 2 Cela est sans effort, et tu seras conduit aussi doucement que si l’on te portait sur un paisible sentier par un jour d’été. 3 C’est seulement ta propre volition qui semble faire qu’il est dur de décider. 4 Le Saint-Esprit ne tardera pas à répondre à chacune de tes questions sur quoi faire. 5 Il le sait. 6 Et Il te le dira, puis Il le fera pour toi. 7 Toi qui es fatigué, tu verras que cela est plus reposant que le sommeil. 8 Car tu peux emporter ta culpabilité dans le sommeil, mais pas dans cela.

7. À moins d’être non coupable, tu ne peux pas connaître Dieu, dont la Volonté est que tu Le connaisses. 2 Par conséquent, tu dois être non coupable. 3 Or si tu n’acceptes pas les conditions nécessaires pour Le connaître, tu L’as nié et tu ne Le reconnais pas, bien qu’il soit tout autour de toi. 4 Il ne peut pas être connu sans Son Fils, dont la non-culpabilité est la condition pour Le connaître. 5 Accepter Son Fils comme coupable, c’est nier le Père si complètement que la connaissance est balayée loin de toute re-connaissance dans l’esprit même où Dieu Lui-même l’a placée. 6 Si seulement tu écoutais, et apprenais combien cela est impossible ! 7 Ne Le dote pas d’attributs que tu comprends. 8 Tu ne L’as pas fait, et tout ce que tu comprends n’est pas de Lui.

8. Ta tâche n’est pas de faire la réalité. 2 Elle est là sans ton faire, mais pas sans toi. 3 Toi qui as tenté de te jeter toi-même et qui as si peu estimé Dieu, écoute-moi parler pour Lui et pour toi-même. 4 Tu ne peux pas comprendre à quel point ton Père t’aime, car il n’y a aucun parallèle dans ton expérience du monde pour t’aider à le comprendre. 5 Il n’y a rien sur terre avec quoi cela puisse se comparer, et rien de ce que tu as jamais ressenti à part de Lui n’y ressemble même vaguement. 6 Tu ne peux même pas donner une bénédiction avec une parfaite douceur. 7 Voudrais-tu en connaître Un Qui donne à jamais, et Qui ne connaît que donner?

9. Les enfants du Ciel vivent dans la lumière de la bénédiction de leur Père, parce qu’ils connaissent qu’ils sont sans péché. 2 L’Expiation fut établie comme moyen de rendre la non-culpabilité aux esprits qui l’ont niée, et qui ainsi se sont nié le Ciel. 3 L’Expiation t’enseigne la véritable condition du Fils de Dieu. 4 Elle ne t’enseigne pas ce que tu es ni ce qu’est ton Père. 5 Le Saint-Esprit, Qui s’en souvient pour toi, t’enseigne simplement comment enlever les blocages qui se dressent entre toi et ce que tu connais. 6 Sa mémoire est tienne. 7 Si tu te souviens de ce que tu as fait, tu ne te souviens de rien. 8 Le souvenir de la réalité est en Lui; par conséquent, il est en toi.

10. Le non-coupable et le coupable sont totalement incapables de se comprendre l’un l’autre. 2 Chacun perçoit l’autre comme pareil à lui-même, ce qui les rend tous deux incapables de communiquer parce que chacun voit l’autre autrement qu’il se voit lui-même. 3 Dieu ne peut communiquer qu’avec le Saint-Esprit dans ton esprit, parce que Lui seul partage la connaissance de ce que tu es avec Dieu. 4 Et seul le Saint-Esprit peut répondre à Dieu pour toi, car Lui seul connaît ce qu’est Dieu. 5 Tout le reste que tu as placé au-dedans de ton esprit ne peut exister, car ce qui n’est pas en communication avec l’Esprit de Dieu n’a jamais été. 6 La communication avec Dieu est la vie. 7 Et rien sans elle n’est.

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