25 mai 2010

Ce monde est plein de miracles.

Le miracle est inutile si tu apprends seulement que le corps peut être guéri, car ce n’est pas cette leçon qu’il est venu enseigner. La leçon, c’est que l’esprit était malade qui a pensé que le corps pouvait être malade; de projeter sa culpabilité n’a rien causé, et n’a pas eu d’effets. Ce monde est plein de miracles. Ils se tiennent en un radieux silence à côté de chaque rêve de douleur et de souffrance, de péché et de culpabilité. Ils sont l’alternative du rêve, le choix d’être le rêveur plutôt que de nier le rôle actif dans l’invention du rêve. Ils sont les joyeux effets d’avoir ramené la conséquence de la maladie à sa cause. Le corps est délivré parce que l’esprit reconnaît que «cela ne m’est pas fait, mais c’est moi qui le fais». Et l’esprit est ainsi libre de faire un autre choix à la place. En commençant ici, le salut changera le cours de chaque pas dans la descente vers la séparation, jusqu’à ce qu’il soit revenu sur chaque pas, que l’échelle ait disparu et que tout le rêve du monde soit défait.

(UCEM ~Texte 28.II.11-12)

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